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Créé le : 25/03/2007 23:32
Modifié : 09/05/2007 21:26

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[ Journal de Bord ] [ Poemes ] [ Clips Vidéo ] [ Famille et Amis ] [ Dessins et Photos ] [ BO et Cinéma ] [ Humour ]

Interrogation

26/03/2007 17:22

Interrogation


Ce lever le matin et regarder le monde
chercher a découvrir quel est l’ultime but
chercher a y trouver cette vérité profonde
cela vaut t’il la peine de continuer la lutte?

 






H

26/03/2007 17:19

H


j’ai la cervelle qui se crash
et le corps qui se relâche
de noirs idées je remâche
de la vie je me détache
si de la foule je me cache
ce n’est pas que je suis lâche
mais je hais toutes tache
qui souris sous leurs moustache

il faut bien que tu le sache
c’est pour ça que je m’arrache
en fumant un joint de hasch
m’injectant un super flash

ne dis pas que je rabache
car moi alors je me fâche
il la, tes dents tu recrache
après t’être pris un bon smatch

dans ma tête il y a eu un clash
j’ai perdu toute mes attache
je me prends pour un apache
c’est du peyotl que je mâche
bien meilleur que les pistaches
si t’en veux faut payer cash
au dealer de st eustache
sinon tu auras macache

H y sois t’il

 






L'écriture

26/03/2007 17:18

L'écriture


Pourquoi amis poètes écrivons nous ?
Moi c’est souvent pour me libérer du mal
Qui me ronge et peut m’être assez fatal
Ma plume est la heureusement je l’avoue

Pouvoir mettre en mots une bribe de pensée
Pour libérer mon esprit carrément tourmenté
De tous ces maux qui me ronge et malmène
Et de cette faucheuse qui est devenue reine

Reine de ma vie dans ma tête
Car tout le temps elle me répète
Qu’avec elle la vie est plus que belle
Que si je le veux elle m’attend près d’elle

Ne vous détrompez pas mes amis
Je ne veux en aucun cas couper ma vie
Cet être infâme je la vire tout les jours
Pour que ma tête repense aux bonjours !

Mon combat est coriace et intérieur
Et seul
moi peux vaincre cette terreur
Encore faut y croire avec tout son cœur
Le mien est hélas brouillé par le malheur…

c'est pour cela qu'écrire est éxutoire
pour virer la haine et les idées noires
cela me tien debout pour le moment
et j'espère que ça durera longtemps!






Cannabis

26/03/2007 17:16

Cannabis


Bonjour je suis l'herbe sacrée
en Europe, on m'a relégué
Aux trucs mauvais pour la santé
Leur morale est la vérité. 
 

 

A cause de tous vos préjugés
on laisse de cote le papier
ou le tissu que j'peux donner
Et les malades a soulagé

 

Légalisez, légalisez
que le monde entier sache
enfin, tout ce qu'on lui cache

 

On m'appelle l'herbe magique
l'herbe de Dieu ou mirifique
en tout cas, pas de panique
je suis la, pour qu'on communique

 

je ne donne pas l'intelligence
tout juste une autre conscience
Sur la vie, le pouvoir, la confiance
une sorte de magnificence

 

Légalisez, légalisez
que le monde entier sache
enfin, tout ce qu'on lui cache

 

Il serais temps que l'on reconnaissent
tout mon pouvoir anti-stress
de la tête jusqu'au fesse
Moi, je tien toutes mes promesses

 

C’est cela qui vous a gêné
oui vous, messieurs les jurés
je me fou de vot'societé
Que je pourrais tout arranger !!

 






Appartiens-moi illusion

26/03/2007 06:50

Appartiens-moi illusion


Illusion, pourquoi n’es tu qu’une illusion,
Et non là à me donner tant de sensations,
A faire vibrer mon corps de passion,
Viens à moi ou je vais perdre la raison.

 

Je veux que sur moi tu pose ton regard brûlant,
Que tes sourirs enjoleurs deviennent indécents,
A toi je m’offrirais sans répis,
Dans tes bras, au bout de la nuit.

 

Mon coeur je te le donne également,
Je te le confis juste eternellement,
J’ai confiance en toi aujourd’hui,
c’est pour cela que je t’ai choisi.

 

Car tu fais battre mon coeur,
A un rythme éffréné,
Qu’il s’arrête j’en ai peur,
Je veux continuer à t’aimer

 






Allégorie du chemin de la vie …

26/03/2007 06:48

Allégorie du chemin de la vie …


Je pensais ne plus être maudite par l'amour... je pensais qu'enfin je serais heureuse... je pensais que les larmes ne coulerais plus...Doux rêve... aujourd'hui tu t'envoles aujourd'hui tu t'effaces, en cette nuit la réalité de ma vie s'impose à nouveau... plus le temps passe, plus on s'approche de l'anniversaire de mon premier texte, plus les heures s'écoulent plus je me souviens de ce temps maudit qui a failli ruiner ma vie...
Ce soir à nouveau je suis triste, nouvelle heure nouveaux pleurs... le moment des remises en questions revient... le sens de ma vie m'échappe, à quoi je sers ? Que puis je faire ? Ces questions qui m'avaient épargné durant presque un an reviennent maintenant comme si mon destin était de fuir... J'ai résisté à la mort une fois, aujourd'hui elle se venge et veut a nouveau me voir sous ses bras... Pourquoi je pleure ? Pourquoi je meurs ? Pourquoi dois je inexorablement marcher vers ce gouffre sans fond qui veut me voir étouffer dans son antre béante...

Je l'ai fait venir de loin pour le décevoir, je voulais le rendre heureux je le plonge dans le noir... Je sais que je l'aime, je pense qu'il m'aime aussi... mais la vie à décidé de nous séparer... je reste impuissante face à la nuit et son tourment, je sais qu'a chaque instant je m'envole vers le firmament, il n'y a plus d'espoir... il parle déjà de nous au passé sans s'en apercevoir... Pourquoi tout s'acharne contre moi ? Je marche et j'avance, sans retour possible vers cet abîme maudit d'où je ne reviendrais plus... parfois on s'embrasse, on se dit que tout n'était qu'un mauvais rêve, juste au bonheur une trêve, que tout va recommencer que meilleure est la réalité...

Mais à quoi bon.. tout cela n'est qu'illusion... la vérité est faite de telle sorte qu'on ne peut ouvrir aucune porte, que le bonheur est enfermé derrière un mur transparent donnant l'impression de le voir sans jamais pouvoir l'atteindre... et quand on croit le toucher, c'est comme si un vent glacial nous entourait et nous repoussait pour nous faire tomber à terre... mais inlassablement, on tente de se relever et on recommence, on joue à ce jeu perdu d'avance où on croit pouvoir gagner tout en sachant que la porte est fermée... Parfois, on ne se relève pas... c'est alors que commence le cheminement inverse ou on croit que la mort se cache derrière une porte elle aussi transparente qu'on ne pourra pas atteindre... mais il n'y a pas de porte... on entre mais on ne ressort plus... Quant à celui qui ne veut pas mourir, son corps reste inerte suspendu dans l'espace, l'âme vide et les yeux blancs...

Embrasse moi lui disais je, aime moi lui demandais je. il s'exécutait avec plaisir sentant mon corps frémir... il s'offrait à moi comme a la plus grande des reines... pour toi poète me disait on, l'amour du net n'a pas de raison... pourtant j'aimais à croire qu'il me redonnait l'espoir, mais mon regard est voilé et mon coeur décimé... Je l'ai laissé dormir pour fuir et puis écrire, je l'ai laissé se reposer pour qu'il puisse m'oublier.

A nouveau je m'effacerai, au fond de l'eau je me noierai pour qu'il puisse vivre en paix sans l'ombre d'un regret... Suis je lâche d'abandonner ainsi ? Mais que cache le chemin de la vie ? Un jour j'aurais la solution du mystère des passions, un jour je trouverais la clé du bonheur pour l'éternité. Je pensais l'avoir trouvée, pouvoir tout oublier et recommencer... Pauvre de moi je me suis fait berner, a nouveau j'ai froid et mon sang est glacé... Devrais je attendre que l'orage se passe, que le soleil revienne ?
Non... Il s'agit là d'un cataclysme qui ne souffrira d'aucune accalmie, d'un déluge de larmes rendant impuissantes toutes les armes. Sur ce, je vais vous laisser, je vais contempler dans mon lit la beauté de l'endormi, lui prendre la main et tenter en vain une fois de plus d'unir nos chemins...

 

 








A quoi ca sert

26/03/2007 06:46

A quoi ca sert


De crier dans l’univers
même si tout le monde entends
personne ne comprends
il y a trop d’écho
qui déforme les mots

 






Le collier des fées

26/03/2007 06:04

Le collier des fées


L’aube m’a éveillée
En léchant l’oreiller
Quand tu m’as dis tout bas
Ne te retourne pas
Relève tes cheveux
Gardes fermés tes yeux.

Ma nuque dénudée
A reçu ton baiser
Un frisson doux et chaud
A couru sur ma peau
Dans le tiède des seins
A glissé son satin

Tu m’as prise en tes bras.
Me libérant des draps
Lover contre ton torse
Blottie à ton écorce
Portée jusqu’au miroir
Tu m’as permis de voir.

Ce cadeau de l’amour
Offert au petit jour
Pour moi volé aux fées
Leurs colliers de rosée
A la dernière brume
Quant le soleil s’allume.

 






Une étoile dans la gouttière

26/03/2007 06:03

Une étoile dans la gouttière


Une étoile inconnue
Vient de tomber du ciel
Inaperçue

Elle gît dans la gouttière
Inanimée
À deux pieds sous les miens

Muni d’un bâton fourchu
Je tente mais en vain
De la sauver

Sur le trottoir d’en face
Des passants intrigués
Observent mon manège
Mais n’y comprennent rien

À l’aube je le crains
Elle aura disparu
Et le soir à la même heure
En ouvrant ma fenêtre
J’entendrai peut-être
Des chants funèbres venus d’en haut
Et des complaintes d’étoiles sœurs

 






Rêverie

26/03/2007 06:01

Rêverie


Beauté inconsciente, écarlate vermeil,
Trait d’azur étoilé, resplendissant soleil,
Fleur inoubliable qui m’a touché au cœur,
Parfum trop délicat, tu gardes mes malheurs.

Tes voiles si légères, que j’aie à caresser,
Ont bercé ma langueur, ta vie est trop abstraite.
Tu as été ma muse, et toujours plus parfaite,
Alors mon âme est morte de t’avoir rencontré.

Délicieuses amours, qui enivrent mes rêves,
De bleu, de blanc, de beau,
c’est si la vie est brève
Que l’on peut y cacher… le nom de l’être aimé.

 






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